Le Tribunal de Dakar, après celui de Ziguinchor, vient de trancher.
Ousmane Sonko peut et doit être candidat.
Les pourvois annoncés ne sont pas suspensifs.
Ils ne sauraient faire obstacle à ce fait:
Un peuple attend un homme.
Un peuple va rencontrer cet homme.
M. Sonko pourra candidater.
Nous sommes à deux mois du rétablissement de la souveraineté du peuple sénégalais.
Malgré les interférences de l’Elysée. Malgré les instrumentalisations des parquets. Malgré les détentions qui n’ont cessé de se multiplier.
Nous sommes à deux mois de la liberté.
Il est temps désormais d’ouvrir la porte au politique. De permettre à M. Sonko de faire campagne. De présenter et préparer un gouvernement qui luttera contre la pauvreté, le pillage des ressources, la corruption.
Mes glorieux confrères ont arraché ces décisions comme autant de roseaux précaires toujours craignant de se briser.
Rien n’est joué. Il faut, désormais, les faire exécuter.
S’assurer que le droit, encore et encore, sera respecté.
Le 25 février 2024, je veux pouvoir être à vos côtés.
Je veux pouvoir toucher une terre qui sentira la liberté.
Je veux, enfin, prendre la main d’un homme appelé à présider vos destinées.
Maintiens rekk. L’Histoire est à notre portée.